LE DROIT COLLABORATIF, NOUVEAU RÈGLEMENT DES CONFLITS, NOUVEL ALTERNATIF AU CONTENTIEUX JUDICIAIRE EN DROIT DE LA FAMILLE

Dans tout conflit familial, il existe des intérêts communs entre les parties. Le processus collaboratif a pour but de trouver ces intérêts communs afin que s’en dégage une solution pérenne.

Dans le cadre des procédures familiales, la médiation entre les parties est de plus en plus préconisée par les Juges aux affaires familiales pour tenter de résoudre les conflits.

Mais un autre outil de règlement des conflits, alternatif au contentieux, commence à apparaître en France : le droit collaboratif.

Très pratiqué en droit anglo-saxon, le droit collaboratif peut trouver application dans tous les domaines du droit, mais s’avère particulièrement utile et adapté aux litiges familiaux (séparation, divorce, garde d’enfants…), là où les conflits sont les plus sensibles et où les liens doivent être préserver dans l’avenir.  

Dans le cadre d’une négociation classique, chaque avocat défend son client et tente d’obtenir l’accord le plus favorable pour lui, ce qui n’exclut pas une certaine agressivité. La relation repose ainsi sur la défiance et il y a toujours l’idée sous-jacente de saisir le Tribunal en contentieux, ce qui risque d’aggraver davantage le conflit.

En droit collaboratif, les parties, époux, concubins, ou parents, signent un contrat de droit collaboratif avec leurs avocats. Ce contrat pose le cadre, cadre qui sera tenu par les avocats, permettra de garantir un espace de confiance et de sécurité.

Les parties et leurs avocats vont ensuite se réunir ensemble et un véritable travail d’équipe va commencer : les besoins et intérêts des parties seront pris en compte, le but étant d’obtenir un accord qui convienne à chacun, et qui soit pérenne.

Les rendez-vous sont fondés sur l’écoute, la confiance, la transparence et le respect…

Dans tout conflit, il existe des intérêts communs et ce sont ces intérêts communs que l’on parvient à trouver grâce au processus collaboratif.

Chacun des avocats ne considère alors, non pas seulement les intérêts de son client, mais également les intérêts de l’autre partie.

Le droit collaboratif est considéré comme très satisfaisant par les avocats et leurs clients qui le pratiquent.

Maître LUNAY a reçu la formation spécifique en droit collaboratif (en plus du diplôme d’avocat), conforme aux standards de l’International Academy of Collaborative Professionnals, en laquelle elle croit beaucoup.

Si votre souhait est de trouver une solution pérenne en dehors du cadre contentieux, souvent long et pesant, Maître LUNAY vous invite à la contacter directement pour fixer un premier rendez-vous à son Cabinet situé à Meaux ICI.

Laisser un commentaire